
Donec eris felix, multos numerabis amicos. (« Tant que tu seras heureux, tu compteras beaucoup d’amis », Ovide, Les Tristes)
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(4 av. J.-C.-65 apr. J.-C.)
Quelques éléments biographiques
Né à Cordoba (Cordoue), il apprit à Rome la rhétorique et la philosophie et entama une carrière politique qui le mena au Sénat. Exilé en Corse, il fut rappelé par Agrippine, la mère de Néron, pour s’occuper de son fils dont il fut le précepteur, puis le conseiller en compagnie de Burrus, lorsque Néron devint empereur. Les excès de Néron qui négligea peu à peu sa bonne influence le poussèrent, après la mort de Burrus, à se retirer de ce poste qui l’avaient aussi rendu riche. Il consacra ses dernières années à la philosophie stoïcienne dont il est le principal représentant dans le monde romain. Impliqué dans la conspiration de Pison, il fut contraint au suicide.
Son œuvre comporte des Dialogues qui lui permettent de développer les principes de la philosophie stoïcienne, ainsi que des traités et des lettres dont le but est similaire ; il écrivit aussi des tragédies.
Son œuvre
– La ( en latin)
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Quelques auteurs latins :